Taking the Rap: Women Doing Time for Society’s Crime
Dr. Eryk Martin – A member of the history department at Kwantlen Polytechnic University, gives an interesting, almost-contemporary lecture about the radical left to a meeting of about 65 people at the MoV Oct 27, 2016 . He focuses in the first part on the Squamish Five, whose bombings of BC Hydro facilities in 1982 brought them instant notoriety, and described the process of radicalization (in San Francisco and Paris) of two of the members. He then described the Wimmin’s Fire Brigade, radicalized by the tidal wave of violent porn in the 1970s, who struck back with bombings of Red Hot Video outlets in 1982. The issue of « Direct Action » – of individuals taking the law into their own hands after seeing an unsatisfactory (in their eyes) response from authorities – animated the entire presentation. One particularly interesting part was the unwillingness of these BC radicals to attempt any assassinations, unlike their German and Italian counterparts of the time; sabotage of property was their goal. Dr. Martin ends with the rhetorical question of whether these direct actions had had any lasting effect.
(version originale anglaise disponible dans la brochure Writings of the Vancouver Five à anti-politics.net/distro/2009/vancouver5-imposed.pdf)
La majorité des féministes blanches revendiquent des salaires égaux pour du travail égal, plus de garderies publiques, des lois plus strictes contre la porno et le viol, plus de financement étatique pour les groupes de femmes et des changements dans le domaine des entreprises.
Ces demandes sont appelées des réformes, parce qu’en elles-mêmes, elles ne présupposent pas la nécessité de la destruction du patriarcat dans son entièreté pour leur réalisation. Ces réformes sont demandées aux gouvernants par des voies légales comme les pétitions, le lobbying des politicien-ne-s et le support de partis politiques.
Certaines femmes croient que les réformes peuvent les libérer sans qu’il y ait destruction du capitalisme.
Elles ont grand espoir dans la réforme du patriarcat, particulièrement en Amérique du Nord, si les femmes sont blanches et veulent prendre une personnalité masculine. Certaines féministes radicales voient les réformes comme des gains à court terme qui deviendront le terrain de lutte du mouvement révolutionnaire pour la destruction du patriarcat. Trop souvent, leur travail de revendication à court terme occulte leurs buts révolutionnaires et fixe les méthodes qu’elles utilisent. Par exemple, pour changer les lois pour réprimer la pornographie, leurs méthodes vont généralement impliquer le dialogue avec les représentant-e-s gouvernementaux, des campagnes de lettres et des pétitions. Si tout ce qu’une femme fait de ses journées est d’être attelée à changer la loi alors ses aspirations révolutionnaires secrètes resteront de l’ordre des rêves.
Tiré de la brochure This is not a love story : Armed Struggles against the Institutions of Patriarchy (Ceci n’est pas une histoire d’amour : luttes armées contre les institutions du patriarcat)
Wanted: RED HOT VIDEO
in Frontline Knowledge, Vancouver Rape Relief and Women’s Shelter, Objectification of Women
Friday, January 1, 1982 – Saturday, January 1, 1983
A brief evaluation of some feminist activity against ‘Red Hot Video’ stores: An Unfinished Business
Ann Hansen and Bob Sarti on Stark Raven about Jim Campbell : Tribute to Jim Campbell
about Jim Campbell
http://sketchythoughts.blogspot.com/2009/09/jim-campbell-remembered.html
The Vancouver Five: armed struggle in Canada by Jim Campbell